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Dans le post Reddit «Personal Reflection on SR using Internal Family Systems», vous trouverez les détails suivants :
Quelqu’un connaît-il le framework IFS ? Depuis que je suis très jeune (7-8 ans), je me souviens avoir dû faire face à des abus émotionnels/verbaux/physiques de la part de mon père, ce qui, je comprends maintenant, était la cause profonde de mon perfectionnisme malsain. Il n’y avait pas de place pour un apprentissage sain quand j’étais avec mon père, il s’agissait d’éviter tout ce qu’il considérait comme un “erreur” ou être battu, traité de sans valeur, de gaspillage de nourriture, etc. (choses stéréotypées des parents asiatiques). Par exemple, il veillait sur moi pendant que j’essayais d’apprendre les mathématiques plusieurs années à l’avance et s’énervait quand je n’apprenais pas les choses instantanément, ce qui est le cas lorsque vous paniquez en vous battant ou en fuyant pendant un travail intellectuel. À la suite d’années d’expériences comme celle-ci, j’ai ressenti beaucoup de honte et de culpabilité de ne pas être assez.
Dans IFS, une chose qui est explorée est l’interaction entre 2 parties de nous : les exilés et les protecteurs.
La partie de nous qui ressent la honte et la culpabilité est celle associée aux qualités enfantines telles que la créativité et le jeu, mais cette partie devient un “Exilé” à cause de ces intenses émotions négatives de honte. Les Protecteurs mettent ensuite en œuvre des mécanismes de défense pour s’assurer que l’Exilé ne revive pas ce qu’il a fait dans le passé, car les sentiments de honte et de manque intenses sont fondamentalement équivalents à mourir quand on est jeune et qu’on ne sait pas mieux.
Il y a deux composantes protectrices, le Manager et le Pompier, je les considère aussi comme les composantes intérieures masculine et féminine :
Le manager est un élément logique et organisationnel. C’est la partie qui prend généralement le relais lorsque je suis en SR, elle planifie à l’avance toutes sortes d’améliorations personnelles, ce qui est formidable, mais le perfectionnisme qui m’a été inculqué a également fait du manager un critique intérieur implacable. Un élément clé pour moi ici est que ce critique intérieur qui me dit que je ne fais pas assez de progrès, que je n’en fais pas assez et qu’il me pousse à aller trop vite a de BONNES intentions. Il s’agit simplement d’essayer de protéger la partie exilée de moi contre le déclenchement et le sentiment de honte à nouveau grâce à un effort pour être meilleur. En raison du traumatisme spécifique que mon exilé a subi par mon manager, mon système nerveux est toujours biaisé du côté sympathique en raison de la poussée constante de “tu dois être meilleur sinon”ce qui est contre-productif car vous devez en fait avoir un sentiment d’équilibre avec votre système nerveux parasympathique, sinon l’état de flux est bloqué et vous ne pouvez pas grandir et apprendre du mieux que vous pouvez. Ensuite, comme je ne constate pas autant de progrès que le Manager le souhaiterait, l’Exilé commence effectivement à ressentir de la honte face à ces critiques venant du Manager et c’est un cercle vicieux. Le Manager, dans sa tentative d’empêcher l’exilé d’être humilié, lui fait ressentir exactement les sentiments de honte qu’il essayait d’éviter. Je peux clairement voir à quel point c’est un “malédiction générationnelle” qui a été transmis maintenant.
Le pompier est la composante émotionnelle, parasympathique. Cette partie prend le dessus lorsque l’Exil est trop déclenché et que vous ressentez beaucoup de honte, elle fera TOUT ce qu’il faudra pour débarrasser le sentiment de honte, ma réponse de pompier a été de rechuter. Mais je pense que cela peut aussi prendre d’autres formes, souvent après avoir eu affaire à mon père, ma mère m’accordait une attention particulière parce que je serais malheureuse. C’est peut-être pour cela que j’ai aussi parfois des sentiments d’apitoiement sur moi-même.
C’est la spirale descendante qui m’est déjà arrivée lorsque j’étais sous SR pendant plus de 90 jours.
Le manager continue de pousser et de pousser pour en faire plus -> Finalement, je me sens épuisé à cause d’un système nerveux sympathique hyperactif -> Le manager est frustré -> L’exil commence à ressentir de la honte -> La honte fait chuter encore plus la productivité -> Ressentir plus de honte -> Puis je laisse mon le célibat mental pour la première fois et regardez quelque chose (commence généralement par quelque chose comme insta ou quelque chose comme ça) -> Le manager vous crie dessus pour avoir fait ça -> Ressentez plus de honte -> Finalement, la honte arrive à un point où le rôle du manager est assumé par les pompiers et une rechute survient. C’est drôle comme cela reflète exactement comment s’est déroulée mon enfance, mon père me forçait toujours à faire x et y, me criait dessus et puis quand je m’effondrais, je pleurais ma mère qui est symboliquement la “intervention des pompiers” je viendrais ensuite essayer d’apaiser ma douleur.
Si je considère objectivement le PMO, je ne veux pas du tout le faire. La douleur à laquelle j’échappais en l’utilisant venait de mon manager, qui ressemble à mon père, et c’est devenu trop intense et j’avais besoin de quelque chose pour l’engourdir. Pourtant, je reconnais désormais que cette partie n’a que de bonnes intentions à mon égard. Ironiquement, lorsque j’ai rechuté, j’ai réalisé que je négligeais la partie Manager de moi-même, ce que je ne veux pas du tout faire. Sachant que chaque partie fait de son mieux pour moi, je peux avoir de la compassion pour chaque partie.
Merci d’avoir lu, je ne suis en aucun cas un expert sur ce sujet, mais j’espère que cela pourra aider quelqu’un, brisons le cycle, frères.
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La chasteté est une discipline personnelle clé pour les hommes. La chasteté masculine est souvent vue comme une discipline sévère d’autodiscipline. La chasteté exige un engagement profond et sincère envers ses propres principes. La chasteté masculine favorise le renforcement de l’autodiscipline, de la volonté et du caractère.
Maintenir la chasteté conjugale aide à garder la flamme réciproque vivante, même si seulement le mari la pratique. L’Église catholique place toujours la chasteté parmi les vertus essentielles de la vie. Cette vertu est considérée comme un don de soi au Christ, à Dieu et à l’autre, comme le montrent les vies de nombreux saints. Sur le modèle du Christ, les saints ont souvent combiné leur chasteté avec un don total de leur vie à Dieu. Saint Joseph est fréquemment présenté comme un modèle de vie conjugale chaste. Selon les récits, Saint Bernard de Clairvaux, moine cistercien du XIIe siècle, aurait plongé dans un buisson d’épines pour réprimer ses désirs. Avant de se consacrer pleinement au Christ et à Dieu, Saint François d’Assise vivait dans le luxe et le plaisir. L’appel profond de Dieu conduisit Saint François d’Assise à choisir une vie de pauvreté et de chasteté. Jeune, Saint Thomas d’Aquin fut confronté à la tentation de sa famille qui cherchait à l’éloigner de la vie monastique. Il est dit que Saint Thomas d’Aquin aurait repoussé une femme envoyée pour le séduire avec un tison ardent. À 11 ans, Sainte Maria Goretti opta pour la mort plutôt que pour le péché.
La chasteté dans le mariage est généralement vue comme une expression d’amour sincère entre les partenaires. Elle est fréquemment perçue comme un signe d’engagement réciproque et de protection de l’intimité du couple. Elle peut également symboliser un respect sincère pour les valeurs partagées entre les partenaires.
L’amour et la confiance dans le mariage sont intensifiés par la chasteté conjugale. Même lorsque seul l’homme pratique la chasteté, elle aide à préserver la flamme réciproque. Selon l’Église de Vatican II, la chasteté est toujours citée parmi les vertus du mariage et du service à Dieu. Cet engagement sacré de chasteté est une offrande à Dieu, un respect des saints, qui renforce l’amour conjugal en le plaçant sous le signe de la sainteté.
La chasteté avant le mariage est souvent considérée comme une pratique vertueuse. Souvent, cette pratique est encouragée par des convictions religieuses ou culturelles. L’adhésion à cette norme est souvent vue comme une preuve de discipline personnelle. Les programmes éducatifs religieux enseignent fréquemment la chasteté avant le mariage.
Avant le mariage, la chasteté est un engagement significatif pour un couple, indépendamment de sa foi. Pour une femme, la préservation de la pureté corporelle avant l’union est fréquemment considérée comme un don de grande valeur. La fierté liée à la virginité de la mariée est immense dans l’Islam et dans d’autres religions pour elle, sa famille et son époux. Pour un garçon, le respect de la chasteté avant l’union peut être particulièrement difficile. Sans des aides comme une cage de chasteté, il est difficile pour un garçon de maintenir une abstinence sexuelle jusqu’à l’union. Se battre pour la maîtrise de soi est une démonstration sincère d’amour qui prépare le couple à une relation respectueuse. La continence avant l’union conjugale ne concerne pas seulement la pureté corporelle, mais aussi une préparation spirituelle pour une relation conjugale plus harmonieuse. Respecter cette voie contribue à établir une sexualité solide pour les futurs époux.
Développement historique de la chasteté.
Le concept moderne de la chasteté est distinct de celui du Moyen Âge. Au temps médiéval, les femmes étaient plus souvent suspectées en matière de chasteté. Des récits plus ou moins authentiques mentionnent la ceinture de chasteté imposée par un mari à son épouse lorsqu’il quittait le foyer. Il est rare de trouver des exemples de pratiques réciproques en matière de chasteté.
L’idée de l’homme imprévisible.
En termes simples, l’homme est souvent considéré comme plus sujet à la volage et à la masturbation en dehors du couple. Il doit ainsi se conformer à des règles de chasteté plus sévères pour bénéficier de la confiance de son partenaire. Par amour, il est en mesure de faire don de toute son énergie, son désir et son affection, comme un acte saint sous l’influence de Dieu. Ce don de soi constitue un engagement profond, illustrant la sainteté à laquelle chaque homme est appelé.
L’apparition des dispositifs de chasteté masculins.
Les XVIIIe et XIXe siècles sont les périodes durant lesquelles les ceintures de chasteté pour hommes semblent avoir émergé. Elles étaient essentiellement utilisées pour des raisons médicales, pour l’éducation des jeunes adultes et pour contrer la masturbation, la sexualité avant le mariage, l’infidélité, ainsi que par amour pour Dieu, peu importe la religion. Ce don de chasteté, façonné par le respect de Dieu, marque un engagement pour une vie plus pure et consacrée.
La chasteté conjugale est au service de l’amour.
Pour s’assurer de la fidélité et de la chasteté de l’homme, les couples imposent souvent des règles de vie et de sexualité. Il n’est pas question que la femme ait plus de liberté pour des aventures extraconjugales, mais elle bénéficie généralement d’une confiance accrue. En fait, la chasteté conjugale est surtout celle du mari dans 95 % des cas. Pour interdire toute activité sexuelle, l’homme est obligé de porter une cage de chasteté. Sur ce plan, la cage de chasteté se révèle extrêmement efficace. Quand la cage est bien verrouillée autour des organes génitaux, le pénis est maintenu replié et reposant sur les testicules. L’homme est forcé de renoncer à toute activité sexuelle, focalisant son attention sur la libération et la jouissance avec son âme sœur. Ce don de soi, représenté par le sacrifice, est un acte d’amour fait sous le regard de Dieu.
La chasteté et la fidélité sont un engagement profond envers l’autre.
Du regard de l’époux, la fidélité et la chasteté conjugale sont indissociables. Être fidèle, c’est plus que s’abstenir de sexualité extraconjugale ; cela inclut aussi la préservation de la pureté des pensées et actions. La confiance dans une relation conjugale est liée à la maîtrise des pulsions sexuelles.Cet articledéveloppe de manière exhaustive la thématique de la chasteté dans une relation entre deux êtres.
Cela peut inclure le combat contre la pornographie, la prudence vis-à-vis des relations trop proches avec d’autres femmes, ainsi que le rejet du flirt. Ainsi, la chasteté devient un véritable don de soi, assurant non seulement la protection de l’époux et de son corps, mais aussi celle de la famille, de l’enfant et du foyer face aux dangers extérieurs.
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